
Qui suis-je
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Ma démarche personnelle avec les rêves
Mon esprit s’est porté naturellement vers les rêves depuis toujours.
Je suis néanmoins tombé dans le rêve par le plus grand des hasards en 1993.
Dans une gare, pour occuper le temps d’attente d’un train, j’ai acheté « Psychologie magazine » un journal que je n’avais jamais acheté auparavant. Une annonce proposait des ateliers de rêves à St Germain en Laye. J’appelais et je rencontrai Christiane Riedel, aujourd’hui auteure de trois livres sur le sujet.
Les ateliers de rêves
L’association « Rêves à Vivre » organisait donc des ateliers de rêves au rythme d’une fois par mois.
Les « élèves rêveurs », sous la férule de Christiane Riedel, interprétaient chacun à tour de rôle le rêve d’un autre participant.
Le rêve avait déjà transformé ma vie.
Christiane nous enseignait à la fois les outils indispensables pour interpréter un rêve, mais aussi à considérer notre inconscient comme un messager et un ami intime de notre vie quotidienne. Je pris depuis ce temps l’habitude de noter mes rêves.
Mes premiers rêves étudiés
Dans un premier rêve, Je voyais une énorme péniche sur une toute petite rivière où elle ne pouvait pas avancer.
La péniche semblait désigner à l’époque, ma capacité à porter de lourdes charges mais je n’arrivais pas à me servir de mes qualités, peut-être parce que dans la situation où je me trouvais alors, je n’avais pas pris le bon chemin.
Dans un second rêve, je faisais aussi souvent ce rêve récurrent que mon ex-épouse conduisait la voiture avec moi assis sur le siège passager. Le rêve énonçait une évidence. C’est à l’époque mon épouse qui dirigeait ma vie.
Pour confirmer la situation déséquilibrée de ma vie à cette époque, est venu alors cet autre rêve épouvantable. J’avais lu le livre de Martin Gray « Au nom de tous les miens » où il raconte que la nuit, dans le braquement d’un déporté, il y avait un lit à côté de la porte à l’entrée. Chaque nuit, le commandant du camp passait et celui qui s’y trouvait était exécuté. C’’était donc une lutte pour ne pas s’y trouver.
Ce soir là, Martin Gray était si fatigué qu’il est resté dans ce lit près de la porte et le commandant n’est pas passé …
Dans mon rêve, je me trouvais moi aussi dans un chalet, dans un lit près de la porte car j’étais « fatigué » ! Et c’est mon épouse qui est venue me « mitrailler » cette nuit-là. Voilà qui illustre le point de vue de mon inconscient.